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Covid-19 : identification d’un point faible du virus, dangers d’une arrivée trop rapide d’un vaccin, moindre nombre de cas de contaminations en Italie France Culture indique que des chercheurs ont mis en évidence un point faible du SARS-CoV-2 : chez ce virus, l’ARN polymérase est extrêmement rapide. Le chercheur Bruno Canard, auteur principal de l’étude parue dans Nature Communications, explique que certaines molécules qui agissent sur la réplication virale peuvent pousser le virus à commettre des « erreurs catastrophes ». Onze mois après l’apparition du SARS-CoV-2, une quarantaine de vaccins sont déjà entrés dans la phase d’évaluation clinique chez l’homme. Selon plusieurs scientifiques, l’hypothèse de l’arrivée d’un vaccin en 2021 devient réaliste, alors qu’une dizaine d’années sont habituellement nécessaires pour mettre au point un produit efficace. Une telle rapidité n’est pas sans danger. La Croix rappelle qu’une étude parue en mai montrait déjà que 20 à 25 % de la population refuserait le vaccin par crainte qu’il ne soit « réalisé trop vite » et qu’il soit « peu sûr ». « On peut sûrement réduire à quelques années, mais réduire à quelques mois ? Vous allez forcément simplifier… Sans parler d’effets secondaires potentiels à plus long terme », estime la chercheuse Morgane Bomsel dans Sud-Ouest. De son côté, 20 Minutes s’intéresse à la manière dont l’Italie parvient à limiter les cas de contaminations par rapport à la France et à l’Espagne. Un nombre cinq fois inférieur à celui de ses voisins s’explique notamment par le recours plus fréquent aux tests antigéniques et sérologiques, moins fiables que le test PCR mais plus rapides, ce qui permet d’isoler rapidement les personnes contaminées. « Le pays est géré par province, et c’est un avantage pour eux car ils peuvent tracer les cas beaucoup plus facilement, province par province », souligne Carine Milcent, spécialiste des systèmes de santé. L’Humanité Dimanche constate qu’aucune solution n’est prévue à ce jour pour recycler les masques, qui finissent à la poubelle ou dans la nature. Le journal rappelle qu’un consortium de recherche international teste actuellement le lavage avec détergent et à haute température, ainsi que l’irradiation avec des rayons gamma ou bêta dans le but d’éliminer le virus tout en gardant les qualités de filtration. Franceculture.fr, 30/09 – Temps de lecture : 1 min La Croix, 01/10 – 6 min Sudouest.fr, 30/09 – 5 min 20minutes.fr, 30/09 – 5 min Humanité Dimanche, 01/10 – 4 min
Naturalisation : une faveur qu’il faut mériter Alors que des élus demandent la naturalisation de l’homme qui, vendredi dernier, a poursuivi l’auteur de l’attaque à l’ancien siège de Charlie Hebdo, Mediapart cite la sociologue Sarah Mazouz au sujet des pratiques de naturalisation. « En droit français, la naturalisation n’est pas un droit mais une faveur : même si quelqu’un remplit tous les critères de recevabilité, l’Etat peut refuser de lui octroyer la nationalité française. » Mediapart.fr, 30/09 – 10 min
Le cauchemar de la fonte du pergélisol en Arctique Au nord de la Sibérie, de gigantesques trous se forment dans le pergélisol, alerte Le Point. Les chercheurs Antoine Séjourné et Gerhard Krinner apportent des explications sur la formation de ces cratères : le sol gonfle sous la pression du méthane et du gaz carbonique qui s’y accumulent, puis explose littéralement. Selon plusieurs études, les émissions de gaz à effet de serre par les pergélisols actuels amplifieront le réchauffement futur d’environ 10 à 20 %, précise Gerhard Krinner. Le Point, 01/10 – 10 min
Que penser des scénarios catastrophes sur le climat ? Des chercheurs prennent position contre la promotion des scénarios suggérant un prochain effondrement global. Selon L’Humanité Dimanche, parler d’un ‘non-retour’ pour le réchauffement n’a pas forcément de sens. « Si l’on stoppe nos émissions de gaz à effet de serre, le système se stabilisera en quelques décennies », affirme Gerhard Krinner. Mais la disparation de l’Arctique fait partie des scénarios qui ne peuvent plus être écartés, estime le glaciologue. Humanité Dimanche, 01/10 – 6 min
Les ressorts du dossier Veolia-Suez Dans un article publié par Challenges, Elie Cohen analyse le rapprochement éventuel entre Veolia et Suez en se référant à la vision d’Emmanuel Macron d’un Etat dont les rôles seraient divisés en régulateur, actionnaire et puissance publique. A l’aune de cette doctrine, l’Etat ne peut être vendeur à travers Engie, acheteur à travers la CDC ou la CNP, et arbitre en tant que puissance publique. L’économiste est invité sur BFMTV à commenter ce dossier. Challenges, 01/10 – 2 min BFMTV.com, 01/10 – 16 min
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« Pour un retour au débat scientifique et à l’intelligence collective » Lemonde.fr, 30/09 – 4 min
A Bruxelles, les batailles « toxiques » de la Commission autour des substances chimiques Barbara Demeneix Mediapart.fr, 01/10 – 6 min
Le moteur d’une nouvelle révolution Industrielle ? Pierre-Jean Benghozi Franceculture.fr, 30/09 – 59 min
« Bruit d’explosion » en Ile-de-France : « Ce n’était pas que le mur du son, c’était un bang supersonique » François Coulouvrat Leparisien.fr, 30/09 – 1 min
L’incendie, qui a ravagé 50 hectares de forêt en Sologne mi-septembre, a eu des conséquences ici Wahid Mellouki La République du Centre, 01/10 – 2 min
Mars : pourquoi la découverte de plusieurs lacs souterrains d’eau salée est extraordinaire Léa Griton 20minutes.fr, 30/09 – 4 min
Covid-19 : la modélisation de deux chercheurs lyonnais qui prédit la seconde vague Giacomo Cacciapaglia La Tribune, 01/10 – 1 min
Recherche scientifique : le CNRS recalé par la justice Liberation.fr, 30/09 – 3 min
Pariscience : grande 1ère pour le festival du film scientifique, entièrement dématérialisé TV5monde.com, 30/09 – 2 min
Collection « Le Monde de la philosophie ». « Ethique à Nicomaque », d’Aristote Frédérique Ildefonse Lemonde.fr, 30/09 – 2 min
Sciences : le lac le plus profond du Massif Central sondé par des chercheurs Jean-Paul Raynal France 3 Régions, 30/09 – 2 min
Vaughan Jones, faiseur de nœuds et mathématicien ultracréatif Etienne Ghys Lemonde.fr, 30/09 – 3 min
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Etude de l’influence des bonnes nouvelles sur nos décisions Selon une étude parue dans Nature Human Behaviour, les bonnes nouvelles influencent nos prises de décision. Des chercheurs et des chercheuses ont observé que, pour prendre une décision, les bonnes nouvelles ont plus de poids que les mauvaises. Surtout, les évènements positifs ont plus de poids, mais seulement lorsqu’ils sont le fruit de notre action. Franceculture.fr, 30/09 – 1 min
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