Fwd: [CNRS Presse] CNRS : Synthèse de presse – 21 juillet 2020

POLITIQUE DE LA RECHERCHE

ET AUSSI…

 

 

Loi Vidal : les apprentis chercheurs inquiets

Selon Mediapart, le projet de loi sur la recherche, qui sera présenté mercredi en conseil des ministres par Frédérique Vidal, ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, inquiète les étudiants et les jeunes doctorants. Si les syndicats étudiants perçoivent quelques points positifs dans cette réforme – notamment la revalorisation des salaires des doctorants de 30 % –, ils sont déçus par la trajectoire budgétaire programmée pour les dix prochaines années et s’inquiètent du financement par projet et des nouvelles formes de contrat de travail.

Mediapart.fr, 21/07 – Temps de lecture : 8 min

 

 

 

Un partenariat de cinq ans signé entre l’UBO et le CNRS

Letelegramme.fr, 20/07 – 1 min

 

Le CNRS lance un appel à projets sur les changements climatiques

Environnement-magazine.fr, 20/07 – 2 min

 

Sonde émiratie vers Mars : « la science arabe revient sur l’exploration du monde de demain »

Isabelle Sourbès Verger

Rfi.fr, 20/07 – 7 min

Franceculture.fr, 20/07 – 43 min

 

Sommet de l’UE : l’espoir d’un accord sur le plan de relance s’amenuise

Anne-Laure Delatte

Francetvinfo.fr, 20/07 – 1 min

 

Sixième Science, épisode 35 : la (folle) vie sexuelle des fleurs

Sciencesetavenir.fr, 20/07 – 2 min

 

Quand les jésuites évangélisaient la Chine

Catherine Jami

Le Figaro, 21/07 – 8 min

 

Ouïghoures. L’entrave aux naissances, un critère de génocide

Hélène Dumas

Libération, 21/07 – 4 min

 

Un trio pour emmener l’Eurométropole de Strasbourg

Sébastien Michon

Lesechos.fr, 20/07 – 3 min

 

« Epidémiologie nationaliste »

Eberhard Kienle

La-croix.com, 20/07 – 3 min

 

 

ACTUALITE DES LABORATOIRES

 

 

Covid-19 : durée de l’immunité, potentiel du test salivaire

Le Figaro s’intéresse à l’immunité développée par les patients du Covid-19. Le mécanisme est aujourd’hui mieux compris, mais l’incertitude demeure quant à la durée. Une étude vient de montrer que le taux d’anticorps atteint un pic entre 20 et 40 jours après l’infection, avant de diminuer. « Ces résultats sont importants, mais malheureusement peu surprenants », réagit Etienne Decroly, qui rappelle que, de manière générale, les coronavirus n’induisent pas une immunité très pérenne. Toutefois, « même si les anticorps ne sont pas facilement détectables dans les analyses sanguines, l’organisme peut rapidement réactiver la production d’anticorps pour se défendre », souligne le chercheur.

Alors que les tests salivaires sont plus rapides et moins invasifs que les tests PCR, peuvent-ils monter en puissance, s’interroge France Inter ? « Nous sommes assez confiants : la technologie est très performante », répond Franck Molina. Le chercheur explique qu’en attendant d’avoir plus de recul, le test salivaire est utilisé là où le test classique naso-pharyngé ne convient pas, par exemple dans les aéroports, lors d’une prise en charge par les pompiers ou encore sur une personne présentant des troubles psychiatriques. Pour rappel, ce test nécessite juste un peu de salive. Il délivre son résultat grâce à un réactif coloré après un court instant de chauffe.

Le Figaro, 21/07 – 4 min

Franceinter.fr, 21/07 – 2 min

 

Le risque s’accroît pour l’homme d’être en contact avec un pathogène

Science Magazine publie un entretien avec Franck Prugnolle, biologiste spécialisé dans l’émergence, la génétique et l’évolution des agents pathogènes. L’émergence des pathogènes n’est pas un phénomène nouveau, indique-t-il. « Sur les 1 400 pathogènes présents chez l’homme, deux tiers seraient issus d’un transfert à partir des animaux, notamment sauvages. » Mais le phénomène s’est accéléré au cours du siècle dernier, essentiellement « du fait de l’augmentation de la population humaine et des activités à risques », dont la déforestation.

Science Magazine, 01/08 – 5 min

 

 

 

INNOVATION

 

 

Première levée de fonds pour Skilder

La jeune pousse lyonnaise Skilder, spécialisée dans la détection des compétences utilisant des briques d’intelligence artificielle, a levé 1,7 million d’euros auprès du fonds d’investissement à impact sociétal et environnemental Phitrust, de la Banque Populaire Aura et de Bpifrance. Ce tour de table devrait permettre d’accélérer les collaborations scientifiques, à travers notamment la mise en place d’un consortium pluridisciplinaire porté par le CNRS et l’ENS Lyon.

La Tribune, 21/07 – 4 min

 

 

 

 

 

 

 

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