Fwd: [CNRS Presse] CNRS : Synthèse de presse – 26 mai 2020


ACTUALITE DES LABORATOIRES

ET AUSSI…

 

 

Covid-19 : création de l’Institut Ad Memoriam, le point sur la recherche, fin de l’épidémie ?

Pour évaluer l’ensemble des impacts sociétaux de la pandémie de Covid-19, l’institut COVID-19 Ad Memoriam vient d’être créé. Organisé sous la forme d’un consortium qui associe un très grand nombre d’institutions, dont des organismes publics de recherche, il appréhendera la « rupture anthropologique majeure » provoquée par le Sars-CoV-2, lequel a conduit en quelques semaines une moitié de l’humanité à se confiner. Les études porteront sur des secteurs variés comme la santé, la recherche, le droit et la justice, les victimes, la culture, les cultes, ainsi que la conservation de la mémoire des événements liés à la pandémie.

Dans un entretien avec Le Quotidien du Pharmacien, Etienne Decroly, microbiologiste et virologue, détaille les deux stratégies thérapeutiques envisagées contre le Covid-19. Au stade de l’infection virale, la stratégie consiste à contrôler la réplication virale afin d’éviter la surréaction du système immunitaire. « On va donc plutôt s’intéresser à des médicaments antiviraux. » Au stade des désordres immunitaires, « on se dirige davantage vers des immunomodulateurs ». Il y a aujourd’hui « plus de 2 700 études » menées par la recherche scientifique, précise-t-il. Interviewé par La Marseillaise, il explique que ses propres recherches portent, d’une part, sur la possibilité d’employer des molécules de repositionnement suffisamment efficaces pour lutter contre le Sars-CoV-2, et d’autre part, sur le développement de nouvelles molécules antivirales.

Dans Télérama, Bruno Canard, spécialiste des coronavirus, indique que son équipe a soumis deux publications en l’espace de huit jours. La première montre qu’une molécule antivirale mise sur le marché au Japon contre la grippe en 2014 – l’Avigan – pourrait aussi avoir une efficacité sur le Sars-CoV-2. La seconde vise à mettre à disposition de la communauté scientifique un test de criblage sur la polymérase du Sars.

Alors que les Français sont sortis du confinement depuis deux semaines, les nombres de personnes contaminées, en réanimation ou décédées continuent de baisser. Certains scientifiques affirment que l’épidémie est derrière nous en France. Samuel Alizon, spécialiste de l’évolution des maladies infectieuses, explique sur France Culture, dans Le Parisien et dans Le Monde que l’épidémie est « en décroissance » mais qu’elle « est toujours là ». Le chercheur précise que la modélisation est une science qui évolue constamment et qui dépend de nombreuses hypothèses. « Le problème avec cette épidémie est la transmission par les personnes asymptomatiques », souligne-t-il.

Le Monde, 26/05 – Temps de lecture : 3 min

CNRS, 25/05

Le Quotidien du Pharmacien, 26/05 – 3 min

La Marseillaise, 26/05 – 4 min

Telerama.fr, 25/05 – 4 min

Franceculture.fr, 26/05 – 61 min

Leparisien.fr, 25/05 – 1 min

Lemonde.fr, 26/05 – 5 min

 

Réchauffement climatique : les espèces marines migrent plus vite que les espèces terrestres

Selon une étude française publiée lundi dans la revue Nature Ecology & Evolution, le déplacement des animaux et des végétaux face à la hausse des températures serait plus rapide dans les océans que sur terre. Avec une vitesse moyenne de 1 kilomètre par an, les espèces terrestres seraient six fois plus lentes à se déplacer. « Ce sont les activités humaines qui impactent le plus ces migrations, explique l’écologue Jonathan Lenoir, coauteur de l’étude. La fragmentation des habitats liée à l’urbanisme, la déforestation, le développement des villes, les changements d’usage des sols et le morcellement des forêts, diminuent la capacité des espèces terrestres à migrer. »

Lemonde.fr, 25/05 – 5 min

Environnement-magazine.fr, 25/05 – 1 min

CNRS, 25/05

 

 

 

Lancement de l’industrialisation d’EasyCov

Lefigaro.fr, 25/05 – 1 min

CNRS, 25/05

 

Coronavirus : les espaces clos, des foyers de contamination en puissance ?

François Renaud, Jean-François Doussin

Leparisien.fr, 25/05 – 5 min

 

Covid : face aux infox, les scientifiques s’adaptent pour contre-attaquer

Jean-Gabriel Ganascia

Sciencesetavenir.fr, 26/05

 

Coronavirus : après la crise sanitaire, le pouvoir d’achat au cœur des débats politiques

Bruno Cautrès

20minutes.fr, 25/05 – 4 min

 

Foot d’après : économiquement, ce qui va changer

Luc Arrondel

Letelegramme.fr, 25/05 – 5 min

 

La culture vent debout

Emmanuel Négrier

Libération, 26/05 – 4 min

 

Coronavirus : bise, accolade, poignée de main… Vers une société sans contact physique ?

Marie-Claire Villeval

Lexpress.fr, 26/05 – 5 min

 

Les égouts, des sentinelles sanitaires contre le coronavirus

Lemonde.fr, 26/05 – 5 min

 

Les cinq dossiers chauds de la nouvelle guerre froide

Jean-Philippe Béja

Libération, 26/05 – 6 min

 

Pour le Venezuela, les pétroliers iraniens ne sont qu’un « soulagement temporaire »

Paula Vasquez

Rfi.fr, 25/05 – 2 min

 

Les sédiments urbains, la mémoire d’une ville

Jérémy Jacob

La Croix, 26/05 – 5 min

La Croix, 26/05 – 2 min

 

Le djihad en prison : l’impossible évaluation de la « radicalisation »

Gilles Chantraine, David Scheer, Marie-Aude Depuiset

Mediapart.fr, 25/05 – 13 min

Mediapart.fr, 25/05 – 11 min

 

 

DANS LA PRESSE PRO

 

La relation médecin-patient face au Covid

Anne-Marie Moulin

Le Quotidien du Médecin, 26/05 – 6 min

 

 

 

INNOVATION

 

 

Pylote parvient à détruire 99,99 % du coronavirus sur les surfaces

La cleantech toulousaine Pylote vient de décrocher sa certification Cofrac auprès du laboratoire Fonderephar prouvant que la charge virale sur les surfaces incorporant sa technologie chute de 99,99 %. Les microsphères céramiques utilisées sont capables de détruire un grand nombre de germes et de bactéries, ainsi que le coronavirus. Cette technologie est issue de la recherche d’un laboratoire du CNRS.

Ladepeche.fr, 26/05 – 2 min

 

Alice & Bob conçoit un ordinateur quantique innovant

Alors que le quantique est l’un des prochains enjeux technologiques majeurs, la jeune pousse Alice & Bob développe une technologie ayant pour but de construire un qubit qui incorpore directement la correction d’erreur. Elle annonce ce mardi une levée de fonds de 3 millions d’euros. Le projet est développé conjointement avec 6 organismes de recherche : Inria, ENS-PSL, Mines Paris-Tech, ENS de Lyon, CNRS et CEA.

Les Echos, 26/05 – 3 min

 

 

 

 

 

 

 

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