Fwd: [CNRS Presse] CNRS : Synthèse de presse – 30 décembre 2020


 

ACTUALITE DES LABORATOIRES

ET AUSSI…

 

 

Covid-19 : les fêtes perturbent la lecture des indicateurs épidémiques

Les indicateurs suivis par les scientifiques depuis le début de l’épidémie apparaissent particulièrement instables en cette fin d’année. Dans la perspective des repas en famille, « des gens sans aucun symptôme se sont mis à se faire tester, pour se rassurer », ce qui « induit un nombre de cas positifs plus importants », explique Jean-Stéphane Dhersin, spécialiste en modélisation des épidémies. Le nombre de tests réalisés entre le 14 et 20 décembre a en effet augmenté de 74 % par rapport à la semaine précédente. Mais ces personnes étant la plupart du temps négatives, le taux de positivité est passé de 6,1 % à 4,3 % entre les semaines 50 et 51. « Le véritable indicateur sera celui des hospitalisations, mais avec quinze jours de décalage », indique le mathématicien.

La-croix.com, 29/12 – Temps de lecture : 4 min

 

Quel est l’impact de l’année 2020 sur le futur ?

20 Minutes a rencontré trois spécialistes du futur, dont Virginie Tournay, membre de la Red Team chargée de créer des scénarios futuristes et disruptifs au profit de l’innovation de défense. « La crise du Covid-19 n’a pas rebattu les cartes », elle est « un catalyseur de signaux déjà présents dans la société », affirme la chercheuse, qui cite « la défiance des citoyens vis-à-vis des institutions » et « la remise en cause de l’autorité sociale et culturelle, qu’il s’agisse de la science ou des organisations publiques et administratives ». « Politiques, scientifiques et citoyens tweetent », de sorte que l’on ne sait plus « qui parle au nom de quoi ». Par ailleurs, en remettant en cause certaines attitudes collectives, la pandémie conduira peut-être à une nouvelle définition de l’« intérêt général » demain.

20minutes.fr, 29/12 – 6 min

 

La glace de l’Antarctique nous raconte l’histoire de la planète

Dans un entretien avec Libération, Jérôme Chappellaz, géochimiste, glaciologue et paléoclimatologue, détaille son projet « Ice Memory ». Lancé en 2014, celui-ci vise à constituer des « bibliothèques » de carottes glaciaires en Antarctique. L’étude de l’eau et de l’air contenus dans la glace permet de connaître diverses données du passé (température, composition gazeuse de l’atmosphère, quantité de poussière, présence de composés chimiques…), qui nous racontent la vie de la planète, explique Jérôme Chappellaz. Le chercheur souligne la bonne place de la France en matière de production scientifique en milieu polaire. Il estime néanmoins que les moyens destinés « au soutien opérationnel sur le terrain » ne sont pas à la hauteur de ceux « des autres nations ».

Libération, 30/12 – 8 min

 

 

 

La stratégie militaire en échec au Sahel

André Bourgeot

L’Humanité, 30/12 – 3 min

Lanouvellerepublique.fr, 30/12 – 3 min

Midilibre.fr, 30/12 – 2 min

 

Pierres précieuses, pierres rares

Gaston Giuliani

La-croix.com, 28/12 – 5 min

 

Haute-Savoie : elle rend les ondes gravitationnelles compréhensibles par tous

Tania Regimbau

Ledauphine.com, 29/12 – 3 min

 

Moselle-Est. Du gaz dans le charbon : l’exposition à voir sur le web

Republicain-lorrain.fr, 29/12 – 3 min

 

Sarralbe. Les cigognes bientôt

suivies à la trace en temps réel

Republicain-lorrain.fr, 29/12 – 2 min

 

 

 

 

INNOVATION

 

 

Surcouf lauréat du concours « Innovation collaborative »

La région Bretagne a dévoilé, lundi 21 décembre, le nom des dix lauréats 2020 du 5e appel à projet « Innovation collaborative au croisement des filières ». Comme les autres années, les projets retenus associent des PME et des laboratoires de recherche. C’est le cas du projet Surcouf (coopération de drones de surface volants pour la surveillance des océans), appuyé par le Lab-Sticc, unité mixte de recherche du CNRS et de l’université Bretagne sud.

Lesechos.fr, 29/12 – 3 min

 

 

 

 

 

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